C'est un peu un dérivé du mouvement écolo-gastro "Slow Food". Aujourd'hui, de plus en plus de monde adopte ce fonctionnement, cette philosophie de "tourisme lent," peu émetteur de CO2 et qui permet de découvrir une destination à son rythme et de partir même si on est fauché.
Avant, les touristes voulaient voir un maximum de choses en un minimum de temps. Aujourd'hui, ils veulent prendre le temps de s'imprégner des choses, de vivre, de se reposer, d'échanger, de découvrir... quitte à en voir moins !
Faire du trekking dans les montagnes du Népal, sur les traces des philosophes qui ont médité dans les grottes, découvrir le Burkina Faso en mobylette à 30 km/h, voyager en Irlande dans des roulottes tirées par des chevaux ... l'adepte du "slow tourisme" a désormais l'embarras du choix.
voir autre article.
Le Point avait fait un beau papier la dessus. Une journaliste de VSD aussi, dans le n° du 27 janvier. le Point explique aussi que certains "disciples du slow travel explorent leur propre région, à vélo ou à pied ... ou se contentent de passer leurs vacances chez eux: outre-Manche, crise oblige, on assiste au phénomène des "staycations", dérivé de "stay" (rester) et "vacations" (vacances), pour s'occuper du jardin ou de la maison".
Cette belle tournure m'enchante ! Alors je partage cette apologie de la lenteur...
Très belle journée à vous
Gaëlle
ah oui, j'adhère à fond !
RépondreSupprimerNoémie
une belle échappée pour quitter Paris et ce stress permanant!!!!
RépondreSupprimerPauline
un peu comme la slow food en fait...
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