30 mars 2010

Un sirène dans l'avion!

Non, non ce n'est pas une boutade. Ce n'est ni le dvd de la Petite Sirène qui prend l'avion dans le sac à dos d'une petite fille, ni les hôtesses de l'air déguisées en Ariel, le capitaine en Triton ou les stewards en prince Eric...


C'est la fameuse petite sirène (éponyme du conte d'Andersen), assise sur un rocher dans le parc de Churchill sur le port de Copenhague, capitale du Danemark. Petite (1,25m) mais "grosse" (175 kg) (non non elle ne mange pas de hamburgers, mais c'est parce que elle est en bronze), est arrivée dans le port en 1913.

Vandalisée, décapitée, repeinte, taguée, gribouillée, elle a toujours résisté et affronté contre vents et marée les tempêtes glaciales nordiques...

Normal c'est la petite sirène ;)

Pour la toute première fois de sa longue vie, la petite sirène va quitter son port d'attache danois et va découvrir les fonds marins de la baie de Shanghai...La Petite Sirène va parcourir 8278.252 km!!! pour un premier voyage! Chapeau!!

Elle a en effet décollé cette semaine pour la Chine, à Shanghai, où du 1er mai au 31 octobre 2010, à l'occasion de l'Exposition Universelle elle sera placée dans le Harbour Pool au centre du Pavillon danois d'EXPO 2010 à Shanghai où 70 millions de personnes pourront discuter avec elle (pas besoin de traducteur, elle parle toutes les langues) et a fait 14 heures d'avion...


A-t-elle voyagé en classe affaires de la compagnie SAS? L'histoire ne le dit pas...Secret défense VIP oblige!





Loulou



26 mars 2010

Vive le printemps !


Ca fait du bien, ce printemps qui pointe le bout de son nez, les jours qui rallongent, les terrasses des cafés qui se remplissent à nouveau. Et moi, je respire à nouveau...

J'ai repris mes exercices de relaxation, et je partage avec vous une petite astuce pour se reconnecter aux bonnes ondes du printemps et aérer les deux hémisphères du cerveau, connecter la raison à l'émotion et augmenter sa concentra
tion (à pratiquer au saut du lit et le soir avant de faire dodo) :

Le pouce droit sur la narine droite : j'inspire profondément - je libère le pouce, je mets l'annulaire droit sur la narine gauche, j'expire profondément - j'inspire profondément sans changer mes doigts de position - l'annulaire droit sur la narine droite, j'expire profondément...
Et je continue. 20 fois de suite.

Bonne respiration,
Bon printemps !



Violette



23 mars 2010

17 mars 2010

Et si on rendait visite à Esmeralda? (185 ans - 304 kilos)

Votre enfant en a ras le bol de son hamster ?

Bluffez-le : présentez-lui Esmeralda, une grande dame ou plutôt un Gentleman (c’est un mâle de 304 kilos), la plus grande tortue terrestre du monde et aussi l’une des plus âgées puisqu’elle atteint 185 ans !

Où ? Sur Bird Island… aux Seychelles ! Comment y aller ? checker ici.

Où dormir sur Bird Island ? Vous pouvez pas vous tromper, il n’y a qu’un hôtel, Le Bird Island Lodge - 24 bungalows à 452 € par couple et par nuit, 121 € seulement pour les enfants de 2 à 11 ans + accueil gratuit pour moins de 2 ans.

À noter : ici pas de télé, pas de piscine, mais l’Océan Indien à volonté....

Esmeralda, j'arrive !

Gaëlle

15 mars 2010

Frenchy Russie, direction St Pet' !

2010 : c'est l'année de la Russie en France , donc l'occasion ou le prétexte d'une découverte des Musées, avenues et parcs de Saint-Petersbourg, la plus française des villes de Russie puisque le plan de la cité a été calqué sur celui de Versailles. Une visite à faire à partir du Grand Hôtel Europe, hôtel emblématique de la ville, qui célèbre ses 150 ans. Une autre bonne raison de courir découvrir St Pet' !

Depuis 1717, date à laquelle Pierre 1er charge l’architecte français Leblond de dessiner le plan originel de la cité calqué sur Versailles, jusqu’à Ricard de la Montferrand qui signera la cathédrale Saint Isaac, sans oublier La Maison du Livre de style Art Nouveau, les influences artistiques françaises ont façonné St Petersbourg.

Pour profiter des 400 expositions et spectacles programmés dans la capitale russe cette année à l’occasion des échanges entre la France et la Russie, le Grand Hotel Europe propose tout au long de l’année un séjour « Frenchy Russie », pour découvrir la ville au travers de ses festivités. Ses temps forts : une visite privée du Musée de l’Ermitage en s’attachant particulièrement aux œuvres françaises, une visite exclusive de la ville et de ses monuments signés par des artistes français et deux dîners gastronomiques à l’hôtel.

Ce séjour « Frenchy Russie » de 3 nuits n'est pas donné, certes, à partir de 2 560 € par couple mais il inclut 3 nuits à l'hôtel avec les petits-déjeuners, un dîner menu dégustation français + un dîner menu dégustation russe au restaurant Caviar Bar de l’hôtel , un "must" avec une visite privée du musée de l’Ermitage et un tour privé de la ville.

Pour tout savoir-www.orient-express.com

Violette

12 mars 2010

Rêve de voyages, Rêve d’enfance : l’Orient-Express


Dans la famille « Je réalise mes rêves d’enfance », je demande à approcher Agatha Christie.

Un truc incroyable… !

Pendant des années, adolescente, j’ai dévoré la quasi-totalité de ses livres (son univers So British et ses personnages tous plus policés et mystérieux les uns que les autres me passionnaient). Et voici qu’arrivée à l’âge adulte, je me trouve à bord du train qui a inspiré son roman « Le Crime de l’Orient-Express » : LE fameux Orient-Express (de son vrai nom, le Venice Simplon-Orient-Express).

Le mythe devient réalité en avril dernier, un jeudi soir inoubliable, à Paris, Gare de l’Est, direction Venise. Les voitures bleues sont bien là, devant moi. Le manteau très chic enveloppé de Shalimar qui me frôle me confirme que je ne rêve pas : il s’agit bien du train d’Agatha Christie !


Une hôtesse me donne mon sésame pour le rêve, le billet qui me permet de monter à bord, chose que je m’apprête à faire seule, d’une enjambée peu élégante pour atteindre la marche - assez haute il faut le dire – du train. Je suis donc sur le point de me ridiculiser lorsque qu’une main gantée de blanc m’invite à prendre appui sur elle ; c’est Andrew, l’un des stewarts du train...



Andrew m’accompagne jusqu’à ma cabine où je crois rêver : du bois verni de haut en bas, une banquette recouverte de tissu fleurdelysé et le moindre détail qui renvoit au passé : de la petite lampe et sa jupe rose poudrée à l’interrupteur en laiton, du lavabo et ses robinets fonctionnant par pression manuelle aux serviettes de toilette portant les lettres du train… Les premiers frissons d’émotion qui suivent sont ceux que produisent les secousses du train, à son départ. Ca y est, Agatha, nous y sommes !

Maintenant, c’est une voix résonnant dans le haut-parleur de ma cabine qui me rappelle que tout cela est bien réel. C’est en fait l’annonce du service du dîner qui commence dans une demi-heure. L’agent de voyage m’avait prévenue : « Pas de jean ni de basket à bord. Pour le dîner, c’est robe de soirée pour mesdames et costume sombre pour messieurs ». Je libère donc de son bagage la petite robe de cocktail Pronovias que j’ai dû porter deux fois dans ma vie et, l’espace de vingt minutes, je me prends pour une princesse… Ou une diva. Peu importe, je suis à bord de l’Orient-Express et je décide d’adopter l’attitude qui va avec.


La belle robe enfilée, le maquillage posé, les cheveux lissés, le parfum Max Mara généreusement – trop ! – vaporisé, je suis prête pour aller dîner. En fait, j’ai surtout l’impression d’entrer en scène. Un peu le trac quand même. Pas grave. Je sors donc de ma cabine et croise des hommes et des femmes tout en nœuds papillons et robes de mousseline, le sourire discret et complice : ces gens semblent tous jouer un jeu. Oui, j’ai l’impression que nous sommes tous les acteurs d’une pièce de théâtre et que notre représentation commence dans quelques minutes, dans les voitures-restaurants. Le restaurant ! Rien que du grand art, tant dans la décoration des voitures que dans la présentation des plats. Ce soir, je dîne dans la voiture Lalique qui, pour la petite histoire, doit son nom au célèbre décorateur à l’origine des panneaux de verre couvrant les parois de cette voiture.

Enfoncée dans un imposant et ultra-confortable fauteuil bleu, face à une table aussi bien vêtue que chacun d’entre nous à bord, j’assiste au grand jeu déployé par les serveurs : d’un geste délicat, l’un déplie et pose une serviette sur mes genoux, tandis qu’un autre, à l’accent italien musical, s’enquière de l’eau que je souhaite boire. Ma réponse à peine donnée – eau pétillante, s’il vous plaît ! – un sceau rempli de glace et d’une bouteille de Badoit se tient déjà fièrement à côté de la table.

Tandis que je lis le menu du soir, les plats défilent à côté de moi, en direction des autres tables : tous plus magnifiquement présentés les uns que les autres. Du grand art, je vous le dis !

Un, deux, trois, quatre… Non, ce n’est pas possible, je recompte : un, deux, trois et quatre…

Quatre plats !

Suivis d’une assiette de fromages, d’un dessert et de mignardises pour accompagner le café ! Effectivement, la preuve quelques minutes plus tard lorsque, l’une après l’autre, les assiettes se posent devant moi. Heureusement, à l’instar d’un restaurant gastronomique, les portions restent raisonnables. La question que je me pose en voyant le premier plat arriver est de savoir si le Chef est un ancien élève des Beaux-Arts ? Le sculpteur Arman aurait-il mieux fait dans ses célèbres accumulations ? Ce sont mes premières interrogations à la vue de cette merveille artistique appelée « La chartreuse de homard et sa brunoise de légumes à l’américaine ».

Après plusieurs secondes d’hésitation, je me décide à commettre le second crime de l’Orient-Express, à coups de fourchette. La victime était un délicieux homard. Trois autres crimes ont lieu ensuite : un Rôti de filet de bœuf mariné aux graines de moutarde, une Laitue braisée aux petits lardons et les Pommes de terre rôties.Le Soufflé glacé au Cointreau et la crème anglaise aux écorces d’oranges qui suivront n’auront qu’une très courte durée de vie. Il est déjà 23 heures. Pour moi, ce sera donc une tisane au lieu d’un café.

Ma petite robe de soirée me fait discrètement remarquer, au niveau de l’abdomen, qu’il ne me reste que très peu de place pour me laisser tenter par quelques-unes des appétissantes mignardises qu’apporte le serveur avec une tasse de Tilleul. J’accueille positivement le signal de ma robe et craque donc pour un tout petit - si petit ! - macaron au chocolat.

Avant de regagner ma cabine, je me laisse attirer par l’agréable tumulte de la voiture-bar. Des éclats de rire croisent des conversations dans toutes les langues, sur fond de musique jouée par le pianiste. Les couleurs qui habillent les verres de cocktail s’harmonisent à merveille avec les tenues chatoyantes et pailletées de ces dames. Il semblerait que mes amis acteurs se soient donné rendez-vous ici pour l’acte final. Je les laisse saluer leur public et enfile les couloirs jusqu’à ma cabine où – surprise ! – la banquette a été transformée en lit.

Je retire ma robe de bal, fait une toilette de chat (et oui, nous voyageons comme Agatha à l’époque, sans cabine de douche) et me glisse sous l’épaisse couverture rose avant de fermer les paupières et me laisser bercer par le mouvement du train. « Mademoiselle, c’est votre petit-déjeuner ! ». Andrew frappe à ma porte à l’heure exactement prévue du réveil demandé la veille. En quelques minutes, il fait disparaître le lit, ses oreillers et sa couverture pour laisser à nouveau place à la banquette. Puis il m’apporte un plateau composé de viennoiseries et de pains, de petits pots de confiture et de beurre, de jus d’oranges pressées, d’une coupelle de fruits frais et d’une grande cafetière.
Tandis que je me régale, le paysage qui défile derrière ma fenêtre est le plus beau des décors : une succession de montagnes verdoyantes, quelques chalets ici et là, des brebis et des vaches paissant tranquillement… Je viens de me réveiller et, pourtant, le rêve continue !

Je profite de cette matinée roulante à travers l’Autriche et la Suisse pour lire dans ma cabine, levant de temps à autre les yeux à la fenêtre pour ne rien manquer du voyage.

L’heure du déjeuner approche et, comme la veille, le service du repas est annoncé dans le haut-parleur de ma cabine. Le dress-code n’est plus à la robe longue ni au smoking, mais on est quand même à bord de l’Orient-Express. Aussi, tout est prévu ! Ce midi, j’arbore la tenue classique féminine : jupe droite noire tombant sur les genoux, top crème au décolleté discret réhaussé d’un collier de petites perles blanches et cardigan noir, le tout signé Zara . Escarpins noirs évidemment.

Aujourd’hui, ma table est réservée dans la voiture-restaurant Orientale. Elle porte si bien son nom avec sa décoration asiatique à la tonalité rouge sombre.
Le spectacle culinaire est à la hauteur des œuvres d’art que le Chef avait réalisées pour le précédent dîner.

L’après-midi, tandis que le train continue sa route jusqu’à Venise, je me sers de l’une des cartes postales offertes dans ma cabine pour envoyer quelques « bises de l’Orient-Express », lesquelles seront déposées dans la mailbox du train, sans timbre puisque le cachet ne sera pas celui de La Poste mais de…L’Orient-Express ! Il est 17 heures environ lorsque Andrew frappe à ma porte pour l’heure du thé. Un moment de grâce, je vous le dis ! Mon stewart préféré est venu avec un plateau en argent portant une ronde de pâtisseries et du café.

C’est accompagnée de ces gourmandises que mon voyage à bord de l’Orient-Express s’achève, en arrivant à Venise. Les canaux sont à quelques pas de la gare et nous pouvons les voir depuis le train. C’est tout simplement merveilleux !

La même main gantée qui m’avait accueillie à bord, en gare de l’Est, m’est à nouveau tendue pour quitter le décor de mon magnifique voyage. Et c’est maintenant Venise qui me tend les bras.

Alors oui, le rêve d’enfance a un coût : à peu près 1800 euros le voyage… Mais quel voyage ! Pour ceux et celles que l’aventure tenterait, il existe un site dédié à l’Orient-Express


Mais en me baladant sur le Net, j’ai trouvé une autre façon de voyager à bord, nettement moins chère mais surtout totalement virtuelle : un jeu vidéo sur PC à environ 15 euros, totalement inspiré du roman de mon auteur préférée, où l’on se prend pour Hercule Poirot !

Pimprenelle

8 mars 2010

Un musée sous l'eau au Mexique!

Dans le genre insolite!

Mêler soleil, plage et culture voilà qui est possible en une seule sortie:



Ce Musée sous-marin a été inauguré en novembre 2009 à Cancun (Mexico, Mexiiiiiccccooooooo). Au fond du Parc National Maritime de la côte de Isla Mujeres, les plong-ristes peuvent voir 400 sculptures de l’artiste anglais Jason de Caires Taylor!
Plus d'infos sur le projet:.

Out: le ticket d'entrée, la carte de réduc' pour avoir le meilleur prix, son vestiaire et la file d'entrée
In: palmes, masque, bouteille
Keep: appareil photo

Loulou part sculpter et proposer ses oeuvres au musée..euh d'abord prend des billets d'avions pour aller à Cancun (un site à me conseiller?) et cherche un hôtel!


Loulou